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To Meet People |
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12/12/2012
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exen_magus' Scoop
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Du net à la main
I – Le Bain -
Elle était là, seule dans sa maison, plus rien ni personne ne pouvait la déranger.
Elle venait de se débarrasser de son dernier conjoint qui l'avait enchainée depuis des mois.
Elle l'avait hébergée par courtoisie et avait eu le malheur de coucher avec lui.
Mais très vite celui-ci c’étais révélé plus jaloux et possessif qu’elle ne l’aurait imaginée.
Ce n'est qu'au bout de plusieurs mois, qu'elle prit la décision de le quitter.
Quand cet instant fut venu, elle profita du temps libre qui lui était nouvellement rendu pour jouir du net qu’elle venait de faire installer.
De monde en monde et de contacts en contacts elle se mit à converser et à s’amuser.
Mais ce soir la elle se sentait usée et fatiguée, le froid la prenait, elle grelotait devant cet écran de mots et d'idées.
Elle ne désirait qu’une chose, tout couper, rien ne semblait plus facile, il lui suffisait d’éteindre son ordinateur, mais la chose n’était pas si aisée.
Certain contactes avec qui elle parlait, était des contactes retrouvée après des années de séparation.
Des contactes de lycée qu'elle ne pouvait se résoudre à envoyer balader, le temps passait et le froid s'installait.
Son désir de se baigner dans une eau chaude et revigorante grandissait.
Le seul soutient qu'elle obtenait au milieu de la fraicheur de la nuit, était son amie d'enfance à qui elle racontait, combien il lui semblerait plaisant de pouvoir partir se ressourcer dans une eau chaude et revigorante, sans brusquer ses autres contactes et prétendants.
- coupe tout va dans ton bain, laisse les, ils seront toujours la demain ! lui écrivait-elle
Mais elle n'y arrivait pas !
Ce n'est qu'au bout d'une longue insistance de celle-ci quelle se décida enfin à fermer l’écran de son ordinateur portable.
Une fois ceci fait elle prit instantanément la direction de sa salle de bain.
En remontant le couloir qui y menait elle pensait déjà aux plaisirs de l'eau chaude et au bienfait des mots qu'elle avait pu lire à travers cette fenêtre de lumière.
Ces mots avaient en quelques sortes travaillées son envie charnelle toute la soirée.
Bien souvent elle aimait à dire que le net lui faisait vibrer le bas ventre.
Mais ce soir la, plus que les autres elle le ressentait.
En ouvrant la porte de la salle de bain elle se remémorait les phrases de ses courtisans.
Tout en regardant la vapeur s'échapper de la baignoire, elle rêvait aux promesses de baisées que certains d’entre eux aurait put déposer sur sa peau frigorifier.
Lentement dans son demi-rêve, elle laissât glisser les vêtements qui la recouvraient.
Ceux-ci en se détachant de sa peau frigorifier lui procurait une sensation de douces caresses entremêlée d’une dureté quasi masculine, transmise par le biais de l’air qui la frigorifiait.
Petit à petit l'atmosphère se réchauffait, elle restait la, paisible et tranquille heureuse d’avoir suivit les conseils de son amie de toujours.
Tout couper, tout décrocher, ne penser qu'à elle, se laisser aller dans cette eau salvatrice qui la revigorerait.
Son amie de toujours savait bien ce qu'il lui fallait, un instant de calme, un retour aux sources.
Le moment tant attendue étais enfin arrivé, elle était la seule et nue devant cette eau chaude qui semblait l’appeler, la vapeur l’enliassait et venait caresser son corps à peine réchauffé, tel un amant emplie de douceur, pour une femme qu’il aurait temps convoité.
Elle plongea la pointe de son pied dans la baignoire et senti son sang réchauffer remonter lentement le long de sa jambe lui procurant du même coup un plaisir extrême.
Enfin elle se trempa de tout son être, elle avait enfin réussit après ses multiples tentatives de déconnection à se plonger dans cette eau salvatrice qui l’enveloppais d’une douce chaleur.
Sa main douce et légère glissait lentement le long de son corps fatigué.
De temps à autres ses doigts glissaient non Loing de ses lèvres pubiennes, la poussant à légèrement s’entrouvrir sans oser s’y poser.
- Non ! se disait-elle
- Je ne suis pas venu la pour ca, et qu’elle intérêt si personne n’est la à mes cotés pour le partager.
Mais irrésistiblement ses mains de plus en plus fréquemment venaient frôler son bas ventre.
Elle se risqua à glisser l’une d’elle le long d’une de ses lèvres, l’extase étais à son comble, elle sentait son ventre se nouer, d’un geste involontaire son bassin se redressât comme pour y inviter ses doigts.
Elle n’y tenait plus, elle laissa son instinct prendre le dessus, ses mais en connaissait le chemin il ne servait plus à rien de lutter.
Ses doigts ouvrirent délicatement ses lèvres pendant que ses cuisses s’écartaient.
Elle les laissât se poser sur son bouton gorgé de désir et ne put se retenir de laisser échapper un léger soupir.
Ses hanches se remontais pour venir écraser son bouton sur cette mains qui le caressait les deux se rejoignant comme des amants fou s’étreignant d’un baisé passionnel.
Dans ce baisé charnelle elle sentait son ventre se nouer puis se libérer d’un courant puissant qui poussait ses doigts à aller de plus en plus vite.
- Que suis-je en trains de faire ? se dit-elle.
- Non ! Je ne peux pas, je ne dois pas…
Mais il était trop tard, elle n’en pouvait plus, son autre mains étais déjà en trains de glisser le long de son cou cherchant à humidifier sa bouche qui retenait à grand peine ses soupirs langoureux.
Un plaisir puissant la submergeas, elle n’en pouvait plus de ses décharges sans fin qui ce faisait de plus en plus puissante à chaque fois que ses doigts l’effleurait.
Son regard se perdait dans l’ivresse de son désir, croisant à chaque mouvement de tête une empreinte phallique en chaque objet qui ornait les rebords de son bain.
Elle lutait à grand peine pour ne pas succomber à son instinct, cette envie grandissante la submergeait d’émoies, tout en lui procurant une jouissance solitaire qu’elle n’avait pas ressentie depuis bien longtemps.
Quand elle reprit ses esprits elle ce senti vidé et mise à nue, son esprit vagabondais encore en se remémorant les images et les envies nouvelles qui venait de la tenter.
Celle-là même qui la faisait rougir et la poussait à s’interroger, sur ce qu’elles auraient pus lui procurer si elle s’était laissée aller.
Ce qu’elle ne savait pas encore ce soir la, c’est que le lendemain en se remémorant ce moment intime l’envie lui viendrais de laisser à nouveau ses mains explorer son corps en solitaire.
Mais cette fois ci elle ne se retiendrait pas, non cette fois ci c’est elle qui le déciderais !!
II - Télé Réalité -
Ce soir la elle se trouvait fatiguée par la journée qu’elle avait vécue, son après-midi et ca soirée n’avait été que jonglage entre les différant contactes d’un instant aux quels elle avait parlé sur l’autoroute de l’information.
Ses rencontre ne concernait qu’un seul sujet pour la plus part du temps, et se sujet c’étais elle.
Tous ses homme d’un instant ne désirait qu’une seule chose, faire partis de sa vie.
Et elle le savait.
C’étais même là son plus grand plaisir, être désirée au point de les voir se mettre à nu.
Certain même, n’hésitais pas à lancer leurs vidéo sans même qu’elle eu à le demander.
D’autres aimais se faire attendre, mais ils ne résistaient pas longtemps à ses charmes, et finissait toujours par dévoiler leurs intimités, que celle-ci soit en image, ou en mots.
Elle adorait ca.
Elle se sentait maitresse du jeu.
Ils l’aimaient, et le nombre de moyens qu’ils utilisaient pour la combler l’excitait d’instants en instants.
Des instants précieux qu’elle accumulait tout au long de ses temps libres et qu’elle laisserait éclater au soir avant de s’endormir, t’elle un gourmet gardant ca plus belle part de dessert pour la déguster en solitaire.
Mai s ce soir là, la journée avait été longue, et la lutte pour ne pas flancher avant l’heure l’avait exténuée, elle n’arrivait pas à se décrocher des flots d’images et de mots qu’elle avait amassée.
Tous cela la travaillait tellement, que c’étais à grand peine qu’elle arrivait à suivre le film qu’elle regardait.
Mais elle tenait bon, lutant contre la fatigue et l’envie qui lui tiraillait le bas du ventre.
- Non ! se disait-elle.
- Je n’ai pas attendue tous se temps pour le voir gâché par une faiblesse passagère !
Elle savait au fond d’elle que la fatigue mélangée à l’envie allait lui procurer une jouissance ultime, cette jouissance elle l’avait bien méritée, et elle ne la gâcherait pour rien au monde.
Enfin ce moment arrivait, le film touchait à ca fin et le générique n’allais pas tarder à pointer le bout de son nez.
Pour cet instant intime elle avait décidée de s’installer dans le lit de la chambre d’amis.
Elle c’étais blottit sous la couette vêtue de son petit pyjama de soie qu’elle appréciait tant.
Celui-ci lui procurait une douce sensation de caresse quand elle bougeait, il lui donnait l’impression que des mains venue d’on ne sais ou venait la frôler, ce qui la rendait encore plus nerveuse dans l’attente de sont instant de plaisir.
Elle n’y tenait quasiment plus, et avait bien du mal à empêcher ses mains de venir caresser le coté de ses seins quand le générique de fin s’affichât sur l’écran.
Elle en avait enfin finit avec lui, ce film étais bon mais son envie de solitude l’avait poussée à le vouloir plus court.
Elle était libre, libre et seule.
Seule pas tout à fait, il restait près d’elle son ordinateur portable, qui allait laisser couler un flot de mots que l’un de ses derniers contacts lui déversait.
- Tu a finit de regarder ton filme ? Lui dit-il.
- Oui, je suis toute à toi. Lui répondit-elle.
Ce contact elle le connaissait bien, c’étais son contacte du soir, et ses mots la faisait vibrer.
Elle c’était bien gardée de lui révéler se troublant secret.
Ses mots, oui ses mots à lui, ceux-là même qui allait la replonger dans les plaisirs de la journée.
Tout en les regardent elle laissait glisser sa main gauche sous le haut de son pyjama.
Celles-ci glissaient en remontant le long de ses cotes, la faisant frissonner telle une brise d’été.
Elle laissât ses doigts frôler le coté de son sein pendant qu’ils montaient.
Puis quand ceux-ci furent arrivés à la limite de son aisselle, elle commença à les laisser dessiner le contour de son sein.
Elle sentait celui-ci se gorger de désir.
Sa main passait délicatement d’un sein à un autre, en prenant soins de ne pas effleurer ses tétons.
- Non pas encore se disait-elle, ils n’en recevront que plus de plaisir.
La chaleur pénétra son bas ventre, pendant qu’elle regardait les doigts agile de son contact commencer une symphonie verbalistique qui la transportais dans ses pensées.
Elle laissait sa main droite caresser son ventre s’arrêtant à la limite de son pantalon tout en sentent celui-ci se creuser comme pour l’inviter à plonger plus en avant dans son exploration.
De sa main gauche elle alla s’aucuper son téton qui c’étais durcit sous l’effet de la vexation de ne pas avoir été caressé.
Faisant tourner ses doigts sur celui-ci et le serrent de temps à autre entre son index et son pouce, ce qui lui donnais un plaisir charnel quand elle relâchait la pression qu’elle exerçait dessus.
De temps à autres elle le tirait vert le haut en le pinçant et ressentait dans tout le corps un frisson qui la traversait du torse à la racine de ses cheveux.
Son entre jambe n’y tenait plus, son bassin commençait à se soulever à chaque fois qu’elle approchait ses doigts de l’élastique de son bas de pyjama.
Pour calmer ce besoin retenu, elle empoignait son pantalon de la main et le remontais fortement.
Poussant celui-ci à venir écraser la couture de son entre-jambes contre son clitoris, ce qui la soulageait l’espace d’un instant.
Mais le flot de mots qu’elle lisait sur l’écran lui faisait répéter de plus en plus souvent ce geste qui désormais ne la soulageait plus.
Bien au contraire tout ceci lui donnait envie d’aller plus loin.
Elle laissât enfin glisser ses doigts sous l’élastique.
Et atteignît ses poiles pubien du bout de ses doigts, elle les frôlait délicatement, déclenchant chez elle une chaire de poule quasi identique à celle qu’elle ressentait sur les rebords de ses tétons.
Ses jambes s’écartais lentement pendant que son bassin se remontait, rapprochant ainsi un peut plus sa main délicate de son clitoris gonflé de désir.
Elle la laissât glisser le long de ses lèvres, les frôlant de l’une à l’autre, du plus haut au plus bas qu’elle pouvait.
Pendant ce temps elle regardait les mots qui défilaient sur l’écran et pénétraient son esprit, tout en continuant d’appliquer ses délicates caresses.
Puis elle se risqua enfin à laisser ses doigts venir embrasser la peau qui recouvrait son bouton d’amour.
A ce moment elle eu l’impression de se perdre, le moment tant attendu commençait enfin.
Elle ne put se retenir de l’écraser légèrement, tout en le massant d’un mouvement circulaire que seul elle maitrisait.
N’y tenant plus, elle laissât sa mains descendre le long de son entre jambe, elle était trempée.
Elle remontât celle-ci gorgée d’humidité, qui glissait sur sa peau dénudée, telle une ballerine expérimentée, tout en descendant son autre main qui allait lui servir à mettre à nu son clitoris en tirant sur la fine couche de peau qui le recouvrait.
Son doigt humide était enfin à même cet objet de désir qu’elle aimait tant.
Il était agile et glissait dessus de plus en plus vite, pendant que de son autre mains elle tirait de plus en plus sur la fine couche de peau, ce qui lui procurait un plaisir encore plus éprouvant.
Elle en voulait plus elle se sentait maintenant enfermé dans se pyjama qui n’avait plus lieu d’être.
Elle voulait s’explorer en toute liberté.
Elle fit glisser son pyjama le long de ses jambes, et le laissât là, à ses pieds, seul et abandonné sous la couette.
Elle était nue ! Libre ! Enfin elle pouvait se laisser aller à ses plus grands désirs !
Ses mains remontaient vers ses cuisses, en caressant ses jambes, tandis que tout son corps se soulevait de plaisir.
Elle ouvrit ses lèvres des bouts des doigts, pendant que ses paumes faisaient pression sur son clitoris qui n’avait pas encore été rassasié.
Sa main droite laissa glisser deux doigts en elle, elle sentait toute l’humidité qui se déversait de son être.
Elle commençât un mouvement de va et viens de plus en plus rapide, qu’elle ne pouvait s’empêcher d’accélérer et que de toutes façon, elle ne désirait pas ralentir.
- Plus loin, plus vite !
- Aime-moi de tes mots ! pensât-elle en regardant l’écran de son ordinateur.
Elle n’en pouvait plus, elle serrait les jambes avec force pour sentir encore plus le plaisir la pénétrer.
Mais rien n’y faisait ! Ce n’étais jamais asses !
Elle se serait si fortement qu’elle s’en soulevait en se cambrant.
Profitant de cette position, elle laissât sa mains gauche glisser le long de sa hanche et entrepris de se caresser la fesse.
Plus elle caressait, plus sa main se déplaçait, écartant ainsi sa fesse pour venir caresser sa fleur de rose du bout de ses doigts.
Ceux-ci petit à petit commençait à entrer doucement en elle sans même qu’elle s’en aperçu.
Le seule indice qu’elle avait et qui lui permettais de savoir ce qui se passait, étais le plaisir de plus en plus grand qu’elle en retirait.
Elle se sentait gênée.
Gênée de ne pas pouvoir aller plus profondément dans ses orifices. Et ce même en appuyant de tout son corps sur sa couche.
Décidément cette journée lui avait donné envie de se sentir libre.
Libre de s’aimer !
Elle se retourna et se cambras, comme offerte à qui voudrais la prendre.
La tête tournée vers son écran, elle se laissât transporter par la pensée que son interlocuteur, aurais pus la regarder à travers cette espion minuscule qu’étais la camera de son ordinateur portable.
Se petit œil espion qui n’étais pas branché mais qui lui procurais une crainte et un plaisir supplémentaire rien que de le regarder.
Elle laissait glisser sa main gauche entre ses fesses pour venir masser son anus à demis ouverte.
La laissant se balader le long de ce chemin qui la poussait de plus en plus à se cambrer.
De sa main droite elle caressait son clitoris, en alternant de temps à autre par une pénétration vaginal à l’aide de ses trois doigts.
Elle sentait au fond d’elle que la décharge électrique qu’elle avait attendue toute la journée n’allait pas tarder à arriver.
Les yeux fixés sur la machine, alternant du regard, les mots qui s’écoulaient sur l’écran, et cette œil mort, la caméra, qu’un hacker de haut niveau aurait très bien pu actionner à son insu.
A cet instant elle n’était plus !
Elle dégustait le plaisir de son fantasme !
Etre vue !
Etre prise en flagrant délit de plaisir animal !
Ce plaisir instinctif gravé au plus profond de son être depuis des millions d’années ! Plaisir ou la réflexion n’a plus lieu d’exister !
Ou seule le besoin de combler l’envie de la chaire domine !
Cela excitait tout son corps.
Elle ne put s’empêcher de soulever sa main gauche, et de la laisser retomber avec vigueur sur sa fesse.
La décharge de cette action lui laissât échapper un petit crie mêlé à une décharge de plaisir qui la poussât à encore plus se cambrer.
- Oui encore ! se dit-elle.
Oui elle aimait cela, elle venait de découvrir pour la toute première fois, guidée par ces mots, le plaisir de sa propre domination.
Aussi tôt elle recommençât sans même prendre le temps d’y penser, suivant les instructions dictées par ce contact, qui la guidait du bout de son clavier.
A chaque fois que sa main retombait, la décharge la transportait de plaisir.
Une décharge de plaisir accompagnée d’une crie, mais qu’à cela ne tiennes elle étais seule chez elle se soir là.
Et plus aucune chaine moral ne pouvait plus l’empêcher de s’aimer !
Chaque fois qu’elle soulevait sa main, ses fesses se dressaient comme pour se présenter à son retour électrique.
Elle n’en pouvait plus, le désir d’aller masser son anus c’étais démultiplier.
Elle laissât la paume de sa main droite glissée sur son clitoris, pendant que ses doigts entamaient un mouvement de plus en plus profond et rapide en elle.
De ses quartes doigts, elle se retenait en son être, les poussant à s’enfoncer en s’aident de son bassin.
Elle se cramponnait à elle même, cherchant à plonger sa main au plus loin, tel un alpiniste désemparée, cherchant la prise la plus sur, afin de ne pas tomber.
Sa mains gauche ne s’endormais pas, bien au contraire elle suivait les mêmes mouvements que ca jumelle, comme si celles-ci essayaient de se rejoindre en son intérieur, les laissant se frôler à travers la fine peau qui les séparait.
De temps à autre elle faisait de ses deux mains des mouvements asynchrones qui cassaient la monotonie de sa pénétration.
Enfin elle la senti arrivée !
Elle ne se contrôlait plus !
Elle était prise de ses spasmes libérateurs créer par le torrent de plaisir qui la traversait !
Elle ne pouvait s’empêcher de laisser échapper des cries de plaisirs !
- Oui enfin c’est tellement bon !
- Je jouie ! Criât-elle.
Elle venait d’être comblée, et se laissât retomber sur le matelas à demis occises par le bonheur et la fatigue que lui avait donnée toute cette jouissance.
A demi-comateuse elle recouvrit son corps de la couette qu’elle avait enlevée, sans même prendre la peine de remettre son pyjama.
Elle s’endormit en se laissant bercée par les dernières effluves de cette jouissance qu’elle venait de se donner en regardent les mots qui se déversait sur son écran tout en se disant.
- S’il savait…
FIN.
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